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Coronavirus : mieux que l’hydroxychloroquine, le cannabis.

Des scientifiques canadiens ont découvert que 13 variétés de cannabis pourraient prévenir l’infection du Covid-19.

Et si après l’hydroxychloroquine, remise en cause par l’OMS, tous les regards se tournaient vers le cannabis ? Aussi surprenant que cela puisse paraître, des chercheurs canadiens viennent de publier une étude affirmant les bienfaits de la plante contre le coronavirus, a rapporté The Next Web.

Selon leur étude, encore non vérifiée, les scientifiques ont identifié treize variétés de cannabis sativa qui permettraient non pas de traiter mais de prévenir l’infection par le virus. En modulant l’enzyme ACE2, le cannabis limiterait l’entrée et la prolifération dans les poumons du SARS-CoV-2.

La substance non psychoactive (CBD) extraite

Pour parvenir à ce résultat, les Canadiens ont extrait de la plante le cannabidiol (CBD), sa substance non psychoactive, de 800 variétés de cannabis. Des variétés qui ne sont pas vendues sur le marché et ont été développées par les chercheurs. 

Les traitements basés sur le CBD ne sont pas une nouveauté. Depuis plusieurs années, le cannabis thérapeutique est prescrit Outre-Atlantique dans la prévention de certaines maladies. Dans certains cas de cancer ou l’épilepsie, il est recommandé afin de mieux supporter les thérapies et leurs effets secondaires. Ses vertus permettraient même de réduire de moitié les migraines et maux de tête.

Kanye West est officiellement candidat à la présidentielle des USA

Alors qu’un membre de la campagne de Yeezy a déclaré, hier, que le rappeur était « hors course », un représentant de Kanye West a rempli les premiers papiers officiels pour sa candidature

 » Nous devons maintenant accomplir la promesse de l’Amérique en ayant confiance en Dieu, en unifiant nos visions et en construisant notre avenir. Je suis candidat à la présidence des Etats-Unis! Kanye West l’avait annoncé personnellement le 4 juillet dernier sur son compte Twitter et il a donc tenu ses promesses. Selon le magazine People, le rappeur est officiellement, depuis ce mercredi 15 juillet, candidat à l’élection présidentielle américaine qui se tiendra en novembre prochain et l’opposera au républicain Donald Trump et au démocrate Joe Biden. Et ce, malgré les dires d’un membre de sa campagne qui le déclarait « hors course » ou de ses intentions de vote qui s’élevaient à 2 %.

Kanye 2020 ou… Birthday Party

Toujours selon People, l’équipe de Kanye West a déposé une déclaration d’organisation de campagne -intitulé Kanye 2020- auprès de la Commission électorale fédérale (FEC). Ce formulaire de déclaration d’organisation indique que le comité Kanye 2020 servira de “Comité principal de campagne” avec Kanye West comme candidat. Son parti est quant à lui baptisé le “BDP”, pour “Birthday Party” (fête d’anniversaire). Une blague? Contacté par le magazine Rolling Stone, la FEC a confirmé qu’un comité baptisé “Kanye 2020″ avait bien déposé un formulaire, avant d’ajouter qu’elle ne pouvait “pas confirmer la légitimité de ce dépôt”. Le mari de Kim Kardashian doit encore remplir le second formulaire de candidature à la présidence dans lequel il devra prouver qu’il a collecté ou dépensé plus de 5.000 dollars dans le cadre de sa campagne.

Candidat en Oklahoma… mais pas dans les autres Etats des USA

Mais ce n’est pas tout. D’après le porte-parole du conseil électoral, un représentant de Kanye West a bien rempli les documents nécessaires à sa candidature en tant que candidat indépendant pour le scrutin en Oklahoma ce mercredi 15 juillet, date butoir pour déposer sa candidature. Selon Forbes, le rappeur milliardaire aurait donc ainsi payé les 35 000 dollars requis pour son inscription et a également remis une déclaration de candidature.

Mais comme sa candidature arrive trop tard dans certains endroits des USA (les deadlines étant différentes selon les États), Kanye West ne pourra pas apparaître sur les bulletins de vote partout dans le pays. A titre d’exemple, les électeurs du Texas ou de la Floride ne pourront donc pas élire le célèbre mari de Kim Kardashian. Pour d’autres états du pays de l’Oncle Sam, la candidature de Kanye West nécessitera plusieurs milliers de signatures de résidents. Et aucune information ne circule à ce jour sur le fait qu’il les aurait déjà collectées…Affaire à suivre donc.

By Pierre-Yves Paque

En France, le port du masque sera obligatoire dans les lieux publics clos dès «la semaine prochaine»

Le premier ministre français Jean Castex a indiqué jeudi que la mesure devait entrer en vigueur dès le 1er août

Le décret rendant obligatoire en France le port du masques dans les lieux clos recevant du public entrera «en vigueur la semaine prochaine», a annoncé le Premier français Jean Castex au Sénat.

 

«Nous envisagions une entrée en vigueur de ces dispositions le 1er août», a rappelé le Premier ministre. «J’ai compris que cette échéance apparaissait tardive (…) le décret entrera donc en vigueur la semaine prochaine», a-t-il indiqué lors de sa déclaration de politique générale devant les sénateurs.

«Une mesure de prévention et de protection efficace»

«Le port du masque constitue avec le respect des gestes barrière une mesure de prévention et de protection efficace», a-t-il souligné.

L’annonce le 14 juillet par Emmanuel Macron de l’obligation de porter un masque dans les «lieux publics clos» à partir du 1er août avait réjoui ceux qui plaidaient pour cette mesure, mais ils réclamaient son application sans délai et y compris sur les lieux de travail.

Jean Castex a précisé que «dans les locaux dits professionnels, cela suppose une évolution des protocoles sanitaires régissant les activités concernées».

By APF LE TEMPS

«Le premier qui attrape le virus à la soirée est payé»

De jeunes Américains ont participé à des «corona-parties». Le but du jeu? Convier des personnes infectées à une fête, attraper le virus et rafler la mise.

Les États-Unis n’en finissent pas avec la première vague de l’épidémie de coronavirus, et le nombre de cas progresse à vitesse grand V dans certains États. Des confinements courts, trop peu de restrictions, des régions touchées les unes après les autres, les raisons invoquées sont nombreuses.

Raisons auxquelles il s’agirait d’ajouter l’inconscience et la bêtise. Des jeunes de l’Alabama ont passé un cap en la matière en décidant d’organiser des «Covid-19 parties». Le concept est très simple: «Inviter le maximum de personnes infectées par le coronavirus. Le premier qui l’attrape également est payé!» Pour toucher la prime, «l’heureux élu» doit aller faire valider sa contamination chez le médecin. Il reçoit ensuite l’argent des billets d’entrée de la fameuse soirée.

«Ils peuvent ramener le coronavirus à la maison»

Difficile d’imaginer les motivations de ces personnes adeptes de ce jeu dangereux. Informées de l’existence de ce type de soirées, les autorités de la ville de Tuscaloosa n’y ont d’abord pas cru: «Nous avons pensé à une rumeur avant d’effectuer des recherches. Mais les cabinets médicaux et l’État de l’Alabama ont reçu les mêmes informations que nous», a expliqué à CNN Sonya McKinstry, du Conseil municipal de la ville.

Plus grave encore, ce phénomène ne serait pas isolé. Plusieurs «fêtes privées» du même genre auraient eu lieu dans des villes de cet État du sud des États-Unis. «Je suis furieuse qu’un virus aussi sérieux et mortel soit considéré de la sorte. Ce n’est pas seulement irresponsable, ils peuvent ramener le coronavirus à la maison et contaminer leurs parents ou leurs grands-parents», poursuit l’élue.

La ville a donc décidé de siffler la fin de la récréation, et les contrôles de police vont se multiplier. Depuis le début de la crise sanitaire, l’Alabama a enregistré plus de 39’000 contaminations au coronavirus et presque un millier de décès.

de Thomas Holzer/L’essentiel

Un juge refuse de bloquer la sortie du livre explosif de John Bolton sur Trump

Dans son livre, dont des extraits ont été publiés par des journaux, l’ex-conseiller à la sécurité nationale critique notamment les décisions du président américain, « motivées par des calculs de réélection ».

Les efforts déployés par la Maison Blanche pour empêcher la publication du livre de John Bolton, prévue le 23 juin, auront été vains. Un juge américain a refusé, samedi 20 juin, de bloquer la sortie du livre explosif de l’ex-conseiller de Donald Trump, John Bolton, où il écorche le président-candidat, déjà sous pression à quelques mois de l’élection présidentielle.

Le président américain a réagi en affirmant que son ex-conseiller payerait un prix « très fort » pour avoir publié son ouvrage sans autorisation de la Maison Blanche.

John Bolton « a fait courir un risque à la sécurité nationale des Etats-Unis » et « a mis son pays en danger », a souligné le juge du tribunal fédéral de Washington, Royce Lamberth, dans sa décision. Mais « le gouvernement n’a pas réussi à établir qu’une interdiction empêcherait des dommages irréparables. Sa requête est donc rejetée », a-t-il conclu.

Le juge Lamberth a souligné que le livre avait déjà largement circulé et qu’il était désormais « un secret de Polichinelle ». Selon l’éditeur, plus de 200 000 copies ont déjà été envoyées à des librairies à travers le pays.

« Nous saluons aujourd’hui cette décision de la Cour rejetant la tentative du gouvernement d’éliminer le livre » de John Bolton, a commenté son avocat Charles Cooper.

L’image d’un président incompétent et moqué

Le juge a reconnu que John Bolton ne semblait pas avoir demandé d’« autorisation écrite » à la Maison Blanche avant publication, qui aurait certifié qu’aucun des éléments « classifiés » ne figurait dans le livre. Il a sous-entendu qu’une action distincte en justice, menée aussi par le gouvernement, pourrait faire perdre à M. Bolton les 2 millions de dollars d’avance qu’il avait reçus pour rédiger l’ouvrage, en raison de la rupture d’accords de confidentialité. Le magistrat est également chargé de cet autre dossier.

« Le gouvernement entend tenir Bolton pour responsable du respect de ses accords et s’assurer qu’il ne reçoive aucun profit de sa décision honteuse de placer son désir d’argent et d’attention au-dessus de son engagement à protéger la sécurité nationale », a insisté la Maison Blanche.

Intitulé The Room Where it Happened (La pièce où cela s’est passé), l’ouvrage chronique les dix-sept mois passés par l’auteur auprès de l’occupant du bureau Ovale comme conseiller à la sécurité nationale, en 2018-2019.

Dans cet ouvrage au vitriol, l’ancien conseiller à la Maison Blanche alimente l’image d’un président américain incompétent sur la scène internationale, moqué par de hauts responsables de sa propre administration et faisant passer sa soif de réélection le 3 novembre avant l’intérêt du pays.

« SUPER VICTOIRE DEVANT LA JUSTICE contre Bolton. Evidemment, le livre ayant déjà circulé et fuité auprès de nombreuses personnes et des médias, le juge très respectable n’aurait rien pu faire pour l’arrêter », a réagi Donald Trump sur Twitter.

« Bolton a enfreint la loi et a été dénoncé et blâmé pour l’avoir fait et payera un prix très fort. Il aime lâcher des bombes sur les gens et les tuer. Maintenant, des bombes vont tomber sur lui ! », a menacé le président américain, en évoquant les positions va-t-en-guerre en diplomatie de son ex-conseiller.

L’Ecosse devient le premier pays au monde à enseigner l’Histoire LGBT+

Le pays vient d’annoncer qu’il intégrerait l’apprentissage de l’Histoire LGBT+ dans les écoles. Un véritable pas pour l’égalité, célébré par les associations et le gouvernement.

La nouvelle tombe en plein « mois des fiertés », ces 30 jours pour sensibiliser à la cause LGBT+ à l’international. D’ici 2021, en Ecosse, les programmes scolaires seront révisés pour y intégrer l’Histoire LGBT+, et les combats menés, encore aujourd’hui, pour l’égalité. Un exemple pour le reste de la planète, puisque le pays deviendra ainsi le premier à éduquer sa jeunesse sur la question, rapporte Glamour UK. Dès le début d’année prochaine donc, toutes les écoles publiques recevront les leçons qui incluront des sujets tels que la lutte contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie, et l’Histoire des mouvements queer.

C’est en novembre 2018 que le projet a été accepté. A l’époque, les ministres écossais ont validé dans leur intégralité les recommandations d’un groupe de travail dirigé par la campagne Time for Inclusive Education (TIE). Ses instigateur·ice·s avaient alors appelé à mettre fin à « l’héritage destructeur » de l’article 28, une législation datant de 1988 qui interdisait aux autorités locales du Royaume-Uni de « promouvoir » l’homosexualité. Un texte qui a seulement été abrogé en 2001 en Écosse, et en 2003 dans le reste du Royaume-Uni.

Le vice-premier ministre et secrétaire à l’éducation, John Swinney, s’est félicité de cette décision essentielle, qui vient par la même occasion condamner les discriminations que les personnes LGBT+ ont subies : « L’Écosse est déjà considérée comme l’un des pays les plus progressistes d’Europe en matière d’égalité LGBTI [lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexes]. Je suis ravi d’annoncer que nous serons le premier pays au monde à intégrer l’éducation inclusive LGBTI dans les programmes scolaires ».

Pour Jordan Daly, le co-fondateur de la campagne TIE, il s’agit « d’une victoire monumentale pour notre campagne, et un moment historique pour notre pays ». Il ajoute : « La mise en place d’une éducation inclusive des LGBTI dans toutes les écoles publiques est une première mondiale. En cette période d’incertitude, cela envoie un message fort et clair aux jeunes LGBTI, à savoir qu’ils sont appréciés ici en Écosse ».

En France, les actes anti-LGBT en hausse de plus d’un tiers

En mai, le ministère de l’Intérieur français divulguait un constat terrible. En 2019, les forces de police et de gendarmerie « ont recensé 1 870 victimes d’infractions à caractère homophobe ou transphobe contre 1 380 en 2018, soit une « augmentation de 36% du nombre de victimes d’actes anti-LGBT », rapportait le gouvernement dans un communiqué daté du mois de mai 2020. Les associations rappelaient toutefois qu’il s’agit d’un bilan erroné, puisque de nombreuses victimes n’osent pas porter plainte.

« Ces chiffres témoignent de l’ancrage profond de l’homophobie et de la transphobie dans la société » et « s’inscrivent dans un contexte plus large de progression des actes de haine et des extrémismes identitaires », commentait le ministère. Pendant le confinement, l’Etat a débloqué 300 000 euros dans le cadre de son « plan d’urgence » , finançant des chambres d’hôtel à une quarantaine de jeunes en difficulté, grâce à l’association Le Refuge. A quand une action concrète pour agir sur les mentalités sur la longueur, et ce, dès le plus jeune âge ?