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Xavi
Thomas Pesquet
Cop26

Xavi
L’ancien milieu de terrain Xavi Hernandez est devenu officiellement lundi le nouvel entraîneur du FC Barcelone. Il a déclaré vouloir sortir le club d’une «situation difficile» lors de sa présentation officielle au Camp Nou.

Thomas Pesquet
Ainsi s’achève la deuxième mission dans l’espace de sa carrière: le Français Thomas Pesquet est rentré sur Terre dans la nuit de lundi à mardi, après un séjour de six mois en orbite dans la Station spatiale internationale qui s’est conclu par un amerrissage réussi au large des côtes de Floride.

Cop26
Même en respectant les nouvelles promesses de la Cop26, on serait encore loin du compte.
Les engagements de réduction d’émissions de gaz à effet de serre pour 2030 ne seront pas suffisants.
La première semaine de la conférence climat Cop26 a vu une série d’annonces de pays promettant de faire plus pour réduire les émissions de gaz à effet de serre mais il est difficile à ce stade d’évaluer leur impact sur le futur réchauffement.

Le vol du Starship SN11 de SpaceX s’est encore mal terminé

SpaceX n’a pas réussi à faire atterrir correctement son prototype Starship SN11. C’est la quatrième tentative non concluante de l’entreprise américaine.

Attendu initialement le 26 mars, puis le 29, c’est finalement le 30 mars que le nouvel essai d’un prototype du vaisseau spatial Starship a été organisé par SpaceX. Mais alors que le vol aurait pu tourner la page des précédents essais, qui se sont tous finis d’une façon ou d’une autre par une explosion, soit directement à l’atterrissage, soit quelques minutes après, les choses ne se sont pas passées comme prévu.

Les circonstances de la perte du prototype SN11 ne sont pas encore très claires. Il faut dire que les conditions météorologiques étaient franchement mauvaises, empêchant d’avoir une vue dégagée sur le lanceur — un brouillard s’était installé à Boca Chica, au Texas, pile le jour du tir expérimental. Et pour ne rien arranger, la diffusion en direct fournie par SpaceX a été tout aussi médiocre, avec des saccades et des interruptions.

UN POSSIBLE PROBLÈME SUR L’UN DES MOTEURS

C’est de toute évidence au cours de la seconde moitié du vol que le prototype SN11 a fait face à un imprévu : la fusée a pu décoller normalement de son pas de tir, atteindre l’altitude désirée, éteindre l’un après l’autre chacun des trois moteurs Raptor, et basculer sur le flanc pour procéder à son retour sur Terre. On a pu le constater dans les quelques moments où la vidéo arrivait à afficher une image.

Or, alors que Starship SN11 poursuivait sa phase de descente, avec les quatre ailerons sur les flancs ajustant l’aérodynamisme de la fusée, c’est manifestement au moment où devait survenir le redressement de la fusée en position verticale qu’il y a eu un problème. La vidéo ne montre rien, mais, à un kilomètre d’altitude, les moteurs se sont rallumés. C’est alors qu’un bruit inhabituel a pu être entendu.

La fusée s’est-elle désintégrée en vol ou si elle a explosé en touchant le sol ? À en croire Elon Musk, c’est le deuxième scénario qui s’est joué : « Au moins, le cratère est au bon endroit ! », a-t-il écrit sur Twitter. Une première piste partagée par l’entrepreneur suggère que c’est le moteur n°2 qui a rencontré des problèmes, et cela dès l’ascension de la fusée — ce qu’il était difficile de constater, faute d’un direct convenable.

« Il semble que le moteur 2 ait eu des problèmes lors de l’ascension et n’ait pas atteint le niveau de pression de fonctionnement de la chambre lors de la combustion à l’atterrissage, mais, en théorie, ce n’était pas nécessaire », poursuit le fondateur de SpaceX. « Quelque chose d’important s’est produit peu après le début de la combustion de l’atterrissage », ajoute-t-il, évoquant des débris éparpillés sur le site.

Dans la séquence ci-dessous, on entend plus clairement une énorme explosion au niveau du site d’essai, puis une pluie de débris qui tombe du ciel. Compte tenu de la direction des objets, l’hypothèse d’une explosion à distance, alors que la fusée était encore en l’air, a été avancée. En effet, les éclats ne proviennent a priori pas du pas de tir — c’est-à-dire d’en face, dans la vidéo intégrée au tweet.

La bonne nouvelle, manifestement, c’est que SpaceX semble maîtriser la majeure partie des manœuvres attendues du Starship, du moins celles exécutées dans le cadre de ses essais (des bonds qui ne vont pas au-delà de 10 ou 20 kilomètres d’altitude, pour tester les dernières étapes du retour sur Terre, avec un nombre limité de moteurs Raptor). Cela, y compris alors que le moteur 2 a rencontré un pépin.

Néanmoins, l’entreprise bute toujours sur la phase finale de ses allers-retours, lorsque la fusée doit décélérer suffisamment fort pour ne pas atterrir lourdement sur le pas de tir. Il s’agit-là de l’étape la plus périlleuse, car elle nécessite de rebasculer rapidement la fusée en position verticale, tout en visant la zone d’atterrissage. Mais au moins, SpaceX dispose des données de quatre essais identiques.

texte numerama.com by Julien Lausson

SpaceX: le prototype de fusée explose au sol quelques minutes après son atterrissage.

Le « magnifique atterrissage en douceur” du prototype SN10 a finalement tourné court quelques minutes plus tard.

SPACEX – Un prototype de la future fusée géante Starship de la société SpaceX, dont deux précédents exemplaires s’étaient écrasés dans d’énormes boules de feu au terme de leur vol d’essai, a réussi son atterrissage ce mercredi 3 mars au Texas, mais a explosé au sol quelques minutes plus tard, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

“Un magnifique atterrissage en douceur”, avait commenté SpaceX dans la vidéo retransmettant le vol d’essai en direct. Des flammes étaient toutefois visibles au pied de la fusée, en train d’être éteintes par les équipes sur place. Quelques minutes plus tard, une énorme explosion a projeté l’engin en l’air, qui s’est fracassé en retombant au sol.

Aucune explication n’a été fournie dans l’immédiat.

Ce véhicule est appelé à devenir la fusée de choix de SpaceX, fondée par le milliardaire Elon Musk, pour aller un jour sur Mars.

Dix kilomètres d’altitude

Le prototype, nommé SN10, pour “Serial Number 10”, a décollé un peu avant 23h20 depuis Boca Chica, au Texas, pour un troisième test suborbital.

L’engin est monté dans le ciel, propulsé par trois moteurs, qui se sont éteints les uns après les autres, et le véhicule s’est renversé pour se placer en position horizontale. 

Il a atteint les 10 kilomètres d’altitude, avant d’entamer sa descente, et la fusée s’est ensuite replacée en position verticale, réussissant à se poser, à première vue sans encombre, à l’endroit souhaité. 

Deux autres prototypes (SN8 et SN9) s’étaient écrasés à l’atterrissage, en décembre, puis début février. 

Ces essais se produisent dans une zone quasi-déserte louée par SpaceX, à l’extrême sud du Texas, près de la frontière avec le Mexique et au bord du golfe du Mexique ― une zone suffisamment vide pour qu’un accident ou une explosion ne cause pas de dommages, ni ne fasse de victimes.

Elon Musk imagine lancer un jour plusieurs de ces vaisseaux à la conquête de Mars. Mais dans un premier temps, la fusée, si elle devenait opérationnelle, pourrait s’avérer utile pour des voyages plus proches, notamment pour la Lune.

By huffingtonpost.fr

Le Starship a encore explosé à l’atterrissage, mais SpaceX est optimiste

SpaceX a fait voler un autre prototype de sa future fusée Starship. Si la quasi-totalité de l’essai s’est bien passée, l’atterrissage a encore été manqué. L’engin SN9 a fini sa carrière dans une spectaculaire explosion.

Bis repetita pour Starship. Mardi 2 février avait lieu un nouveau test du prototype de la future fusée de SpaceX. Il s’agissait du neuvième exemplaire de l’engin (SN9, pour Serial Number 9) à être ainsi éprouvé. Le but ? Effectuer un « bond » en haute altitude, exécuter des manœuvres complexes, tester une séquence d’allumage et d’extinction des moteurs, puis revenir en douceur sur la terre ferme.

Il s’agissait, en somme, de reproduire le test du SN8, survenu le 9 décembre, mais avec l’espoir d’un final différent. En effet, avec le SN8, tout s’était très bien passé, sauf à l’atterrissage : un problème de pression dans un réservoir l’a empêché d’avoir une poussée suffisante pour décélérer suffisamment au moment du retour. Résultat : une arrivée trop rapide au sol, causant la destruction du SN8.

L’un des moteurs ne s’est pas rallumé

Malheureusement, SpaceX n’a pas réussi à écrire une fin différente avec SN9. Ou plus exactement, si, mais pas celle que l’entreprise américaine espérait. Car là encore, le SN9 a fini sa carrière dans une immense boule de feu. Sauf que cette fois, le problème qui a causé la destruction du prototype n’est pas un souci de pression, mais un incident moteur : l’un des trois utilisés lors du test ne s’est pas rallumé.

« Pendant la manœuvre de basculement à l’atterrissage, un des moteurs du Raptor ne s’est pas rallumé et a fait atterrir le SN9 à grande vitesse et a subi un RUD », explique SpaceX. Un RUD, acronyme de Rapid Unscheduled Disassembly, ou Rapid Unplanned Disassembly, qu’on traduit par Démontage rapide et non planifié, ou Démontage rapide et imprévu, c’est un terme élégant et un euphémisme pour dire que ça a explosé.

Pour qui a suivi en direct le vol du 2 février, qui a duré en tout environ un quart d’heure, l’issue fatale du SN9 pouvait être anticipée juste avant en constatant que le prototype était bien trop penché et arrivait beaucoup trop vite sur son site d’atterrissage pour que ça se passe bien. Impossible dans ces conditions de se poser en douceur et correctement sur son train d’atterrissage.

Comme pour le SN8, c’est sans doute cette conclusion dans une gerbe de feu que l’on va retenir du test SN9. Pourtant, il faut néanmoins observer que toutes les précédentes autres étapes se sont manifestement bien déroulées : l’ascension jusqu’à une dizaine de kilomètres en altitude, l’extinction programmée et séquentielle des moteurs, la bascule sur le flanc et son retour sur le pas de tir.

« Le SN9 était propulsé pendant la montée par trois moteurs Raptor, chacun s’arrêtant en séquence avant que le véhicule n’atteigne son apogée », commente SpaceX. « Le SN9 a effectué avec succès une transition de propulsion vers les réservoirs internes du collecteur, qui contiennent le propergol d’atterrissage, avant de se réorienter pour une rentrée et une descente aérodynamique contrôlée », ajoute la société.

Pour SpaceX désormais se pose la question de savoir comment surmonter l’obstacle de l’atterrissage, qui est de toute évidence sa faiblesse actuelle avec le prototype Starship. Le modèle SN10 sera le prochain à tenter sa chance. D’autres tests sont attendus en 2021. Et si tout se passe bien, il est possible qu’un vol inaugural du Starship survienne dès le mois de novembre. Sauf si les crashs persistent.

By Julien Lausson

Numerama.com

Avec SpaceX, l’Amérique reprend son vol

Le lancement du vol SpaceX est un symbole fort pour l’exploration spatiale américaine. Les États-Unis, qui depuis neuf ans dépendent des lanceurs russes pour envoyer des astronautes dans l’espace, ne manquent pas de projets dans le domaine. Alors que Trump rêve de Lune pour 2024, Elon Musk a déjà les yeux rivés sur Mars.

Source: La Croix