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Le port d’arme à feu en public et sans permis autorisé au Texas

Les opposants à cette loi, au Texas et dans tout le pays, affirment qu’un assouplissement des règles sur les armes à feu va générer davantage de violence.

Le gouverneur républicain du Texas a promulgué mercredi une loi autorisant le port d’une arme à feu en public sans permis, dernière d’une série de mesures élargissant les droits en matière d’armes à feu dans les États conservateurs aux États-Unis.

Cette loi, adoptée en mai par un Sénat et une Chambre des représentants dominés par les républicains dans cet État du sud, permet à toute personne âgée de 21 ans ou plus et n’étant pas visée par une interdiction de détenir une arme à feu d’en porter une en public sans permis. Elle doit entrer en vigueur le 1er septembre. Le texte considère que les Constitutions des États-Unis et du Texas autorisent les citoyens à porter une arme à feu et que, par conséquent, il devrait y avoir moins d’obstacles en la matière.

Le gouverneur Greg Abbott compte présider une cérémonie de promulgation du texte jeudi, d’après le journal «Texas Tribune». Il avait fait savoir qu’il promulguerait la loi si le texte était voté par les deux chambres. «C’est quelque chose qu’une vingtaine d’autres États ont adopté, et il est temps que le Texas l’adopte aussi», avait-il déclaré en avril sur la radio locale WBAP.

22 morts dans un supermarché en 2019

Mais les opposants, en particulier les démocrates au Texas et dans l’ensemble du pays, ont affirmé qu’un assouplissement des règles sur les armes à feu allait générer davantage de violence. Ils ont notamment cité en exemple la fusillade dans la capitale texane Austin ayant fait un mort et treize blessés la semaine dernière, ainsi que celle dans un supermarché d’El Paso en 2019 qui avait fait 22 morts et 23 blessés.

L’élue texane à la Chambre des représentants des États-Unis Veronica Escobar a estimé mercredi que Greg Abbott avait «choisi de trahir les victimes de la violence par armes à feu» en promulguant la loi.

«Malgré un soutien important pour une législation visant à prévenir la violence par armes à feu, les Républicains, menés par un gouverneur couard, sont davantage intéressés d’attirer l’attention du lobby des armes qu’ils ne le sont de prévenir la violence par armes à feu et de rendre hommage aux victimes et aux survivants d’El Paso et à travers le Texas», a-t-elle tweeté.

La représentante Vikki Goodwin avait demandé lundi au gouverneur d’opposer son véto à la loi après la fusillade à Austin. «Nous devons intervenir pour briser ce cercle vicieux», a-t-elle indiqué.

Texte by Lematin.ch AFP

Donald Trump has 75 days left of his presidency: what if they were the worst?

Although defeated by Joe Biden, the future leader of the United States, the incumbent retains immense power as President and head of the armed forces... and he has nothing to lose.

UNITED STATES - As Donald Trump prepares to enter the final days of his presidency - which could well be his worst - Americans are worried about what is in store for a president who proposed shooting migrants and using nuclear weapons against hurricanes.

As excessive, reckless and thoughtless as he has been so far, his critics point out that it was election time, which is no longer the case. Beaten by Joe Biden in the 2020 presidential election, he no longer needs to moderate himself.

"He'll do everything he can to stir up trouble", says Michael Cohen, the president's former personal lawyer, who was tried and sentenced to three years in prison for, among other things, buying the silence of women who had relations with Donald Trump just before the 2016 election.

According to him, the President "will go on TV, radio and the press to complain that these elections were stolen from him by fraud and foreign interference. He will never admit that he owes his defeat to his incompetence and arrogance".

Trump to leave the White House on 20 January

The winner, Joe Biden, is due to take office at noon on 20 January 2021, but Donald Trump retains his presidential prerogatives for another 75 days, including his role as head of the US armed forces and nuclear weapons.

He said he had no intention of facilitating the transition of power because of the FBI investigation into Russian assistance he allegedly received during the 2016 campaign, which the president calls "espionage."

"Are we talking about the transition I had when you spied on my campaign and when you tried to bring down the President of the United States?" he railed again last week at a rally in Pennsylvania.

The White House declined all requests for comment on this matter.

Speaking on condition of anonymity, a former senior official believes that the concerns expressed by Michael Cohen and others are exaggerated. "I don't think he'll do anything out of the ordinary", he said of the President.

But a long-standing adviser, who also prefers to remain anonymous, fully expects Donald Trump to demand the resignation of Anthony Fauci, the infectious disease specialist on the coronavirus pandemic task force. He could also fire Christopher Wray, the director of the FBI, and Gina Haspel, the director of the CIA, who have repeatedly contradicted him. "Either he's going to fire Wray, Fauci and Haspel and make a fuss, or he's going to hold his nose to make himself look good. It'll be interesting to see. And it's 50-50," he adds.

What if Trump spent all his time playing golf?

Ruth Ben-Ghiat, a historian and specialist in authoritarian regimes at New York University, is sure that the outgoing president "will take revenge on those who have shown him a lack of loyalty". Daniel Goldman, a former federal prosecutor who acted as the Democrats' lawyer in the impeachment proceedings against Donald Trump, predicts 11 busy weeks for the President and his team.

According to him, we can expect "all sorts of executive orders to invalidate other Obama-era regulations, the adoption of new regulations on the sly, attempts to intimidate and neutralise various government agencies, and him using the levers of power to advance the pawns that will serve his financial interests after the presidency. Not to mention a record number of presidential pardons" for his accomplices.

Of course, regulations that have been improperly drafted and adopted can always be invalidated by legal action. Even those that are properly drafted in the final months of the administration could be quickly repealed by the new Congress, and all its executive orders immediately rescinded by Joe Biden as soon as he takes office.

Other people familiar with Donald Trump question the interest he will show in his duties if he loses the election. Anthony Scaramucci, an old friend of the president who briefly served as a White House adviser, sums up the leader's most likely end-of-term agenda in three words: "Play golf". Which is what he was doing when his defeat was announced to the world.

This article, published on Le HuffPost USwas translated by Valeriya Macogon for Fast ForWord.

United States: almost 240,000 displaced by California fires

FEUX Une vingtaine d’incendies ravagent encore la Californie. Près de 240’000 personnes ont été déplacées. Alors que d’autres états sont venus prêter main-forte aux pompiers californiens, une aide internationale a été demandée.

Près de 240’000 personnes ont jusqu’ici été évacuées pour échapper aux incendies qui ravagent la Californie. Les autorités ont reçu, ces dernières heures, des renforts en hommes et en matériel, avant une possible nouvelle série d’orages.

Une vingtaine de foyers majeurs étaient encore en activité dimanche, dont le LNU Lightning Complex et le SCU Lightning Complex, respectivement au nord et au sud-est de San Francisco.

Le LNU a déjà traversé plus de 138’000 hectares, ce qui en fait le deuxième incendie le plus important en périmètre de l’histoire de la Californie, derrière le Mendocino Complex, et ses 185’000 hectares partis en fumée en juillet 2018.

Le SCU Complex est lui déjà le troisième incendie le plus ravageur, avec plus de 137’000 hectares détruits, alors qu’il n’était contenu qu’à 10% dimanche matin.

Au total, sur l’ensemble des feux d’ampleur répertoriés en Californie, qui ont entraîné au moins cinq décès, plus de 1000 bâtiments ont été détruits, dont 845 pour le seul LNU Complex, qui était contenu à 17% dimanche.

Des renforts demandés

Près de 240’000 personnes ont été évacuées dans le «Golden State», le surnom de cet Etat, a indiqué dimanche Daniel Berlant, porte-parole de l’agence californienne de protection contre les incendies, CalFire, dans une vidéo postée sur Twitter.

Les autorités californiennes ont reconnu que les effectifs étaient, dans un premier temps, insuffisants pour lutter efficacement contre autant d’incendies de grande ampleur.

Mais les pompiers de Californie ont reçu, ces dernières heures, le renfort d’hommes et de matériel venus de plusieurs Etats américains, notamment l’Oregon, le Texas, l’Arizona ou le Nouveau-Mexique, a annoncé le porte-parole de CalFire. Environ 200 hommes de la Garde nationale ont également été mobilisés, et environ 14’000 pompiers étaient à pied d’œuvre dimanche.

Aide internationale

Dimanche, les soldats du feu pouvaient compter sur plus de 200 appareils volants, avions et hélicoptères, y compris des avions militaires modifiés pour combattre les incendies. Le gouverneur Gavin Newsom a sollicité l’aide du Canada et de l’Australie.

Déjà sous tension, la Californie se préparait à vivre une nouvelle séquence météo marquée par de possibles orages jusqu’à mardi, susceptibles d’entraîner des départs de feux.

C’est déjà une série d’orages et une vague de plus de 12’000 éclairs, le week-end dernier et en début de semaine, qui ont déclenché les incendies actuellement en cours en Californie.

Article du : lenouvelliste

 

Kanye West is officially a US presidential candidate

While a member of Yeezy's campaign declared yesterday that the rapper was "out of the running", a representative of Kanye West has filed the first official papers for his candidacy.

 " We must now fulfil America's promise by trusting God, unifying our visions and building our future. I'm running for President of the United States! Kanye West announced it personally on his Twitter account on 4 July, and he has kept his promises. According to People magazine, as of Wednesday 15 July the rapper is officially a candidate in the US presidential election to be held in November, pitting him against Republican Donald Trump and Democrat Joe Biden. This is despite a member of his campaign declaring him "out of the race" and his voting intentions of 2 %.

Kanye 2020 or... Birthday Party

Also according to People, Kanye West's team has filed a Statement of Campaign Organization -titled Kanye 2020- with the Federal Election Commission (FEC). The Declaration of Organization form states that the Kanye 2020 Committee will serve as the "Principal Campaign Committee" with Kanye West as its candidate. His party is called the "BDP", which stands for "Birthday Party". A joke? Contacted by Rolling Stone magazine, the FEC confirmed that a committee dubbed "Kanye 2020″ had indeed submitted a form, before adding that it could not "not to confirm the legitimacy of this deposit". Kim Kardashian's husband still has to fill in the second presidential application form, in which he will have to prove that he has raised or spent more than $5,000 on his campaign.

Candidate in Oklahoma... but not in the other US states

But that's not all. According to a spokesperson for the Board of Elections, a representative of Kanye West filed the necessary documents for his candidacy as an independent candidate in the Oklahoma election on Wednesday 15 July, the deadline for filing his candidacy. According to Forbes, the billionaire rapper paid the $35,000 required for his registration and also submitted a declaration of candidacy.

But because his candidacy arrived too late in some parts of the USA (deadlines vary from state to state), Kanye West will not be able to appear on the ballot papers anywhere in the country. For example, voters in Texas and Florida will not be able to elect Kim Kardashian's famous husband. For other states in Uncle Sam's country, Kanye West's candidacy will require several thousand signatures from residents. And there's no word yet on whether he's already collected them... So stay tuned.

By Pierre-Yves Paque

"The first person to catch the virus at the party gets paid".

De jeunes Américains ont participé à des «corona-parties». Le but du jeu? Convier des personnes infectées à une fête, attraper le virus et rafler la mise.

Les États-Unis n’en finissent pas avec la première vague de l’épidémie de coronavirus, et le nombre de cas progresse à vitesse grand V dans certains États. Des confinements courts, trop peu de restrictions, des régions touchées les unes après les autres, les raisons invoquées sont nombreuses.

Raisons auxquelles il s’agirait d’ajouter l’inconscience et la bêtise. Des jeunes de l’Alabama ont passé un cap en la matière en décidant d’organiser des «Covid-19 parties». Le concept est très simple: «Inviter le maximum de personnes infectées par le coronavirus. Le premier qui l’attrape également est payé!» Pour toucher la prime, «l’heureux élu» doit aller faire valider sa contamination chez le médecin. Il reçoit ensuite l’argent des billets d’entrée de la fameuse soirée.

«Ils peuvent ramener le coronavirus à la maison»

Difficile d’imaginer les motivations de ces personnes adeptes de ce jeu dangereux. Informées de l’existence de ce type de soirées, les autorités de la ville de Tuscaloosa n’y ont d’abord pas cru: «Nous avons pensé à une rumeur avant d’effectuer des recherches. Mais les cabinets médicaux et l’État de l’Alabama ont reçu les mêmes informations que nous», a expliqué à CNN Sonya McKinstry, du Conseil municipal de la ville.

Plus grave encore, ce phénomène ne serait pas isolé. Plusieurs «fêtes privées» du même genre auraient eu lieu dans des villes de cet État du sud des États-Unis. «Je suis furieuse qu’un virus aussi sérieux et mortel soit considéré de la sorte. Ce n’est pas seulement irresponsable, ils peuvent ramener le coronavirus à la maison et contaminer leurs parents ou leurs grands-parents», poursuit l’élue.

La ville a donc décidé de siffler la fin de la récréation, et les contrôles de police vont se multiplier. Depuis le début de la crise sanitaire, l’Alabama a enregistré plus de 39’000 contaminations au coronavirus et presque un millier de décès.

de Thomas Holzer/L’essentiel

Judge refuses to block release of John Bolton's explosive book on Trump

Dans son livre, dont des extraits ont été publiés par des journaux, l’ex-conseiller à la sécurité nationale critique notamment les décisions du président américain, « motivées par des calculs de réélection ».

Les efforts déployés par la Maison Blanche pour empêcher la publication du livre de John Bolton, prévue le 23 juin, auront été vains. Un juge américain a refusé, samedi 20 juin, de bloquer la sortie du livre explosif de l’ex-conseiller de Donald Trump, John Bolton, où il écorche le président-candidat, déjà sous pression à quelques mois de l’élection présidentielle.

Le président américain a réagi en affirmant que son ex-conseiller payerait un prix « très fort » pour avoir publié son ouvrage sans autorisation de la Maison Blanche.

John Bolton « a fait courir un risque à la sécurité nationale des Etats-Unis » and « a mis son pays en danger », a souligné le juge du tribunal fédéral de Washington, Royce Lamberth, dans sa décision. Mais « le gouvernement n’a pas réussi à établir qu’une interdiction empêcherait des dommages irréparables. Sa requête est donc rejetée », a-t-il conclu.

Le juge Lamberth a souligné que le livre avait déjà largement circulé et qu’il était désormais « un secret de Polichinelle ». Selon l’éditeur, plus de 200 000 copies ont déjà été envoyées à des librairies à travers le pays.

« Nous saluons aujourd’hui cette décision de la Cour rejetant la tentative du gouvernement d’éliminer le livre » de John Bolton, a commenté son avocat Charles Cooper.

L’image d’un président incompétent et moqué

Le juge a reconnu que John Bolton ne semblait pas avoir demandé d’« autorisation écrite » à la Maison Blanche avant publication, qui aurait certifié qu’aucun des éléments « classifiés » ne figurait dans le livre. Il a sous-entendu qu’une action distincte en justice, menée aussi par le gouvernement, pourrait faire perdre à M. Bolton les 2 millions de dollars d’avance qu’il avait reçus pour rédiger l’ouvrage, en raison de la rupture d’accords de confidentialité. Le magistrat est également chargé de cet autre dossier.

« Le gouvernement entend tenir Bolton pour responsable du respect de ses accords et s’assurer qu’il ne reçoive aucun profit de sa décision honteuse de placer son désir d’argent et d’attention au-dessus de son engagement à protéger la sécurité nationale », a insisté la Maison Blanche.

Intitulé The Room Where it Happened (La pièce où cela s’est passé), l’ouvrage chronique les dix-sept mois passés par l’auteur auprès de l’occupant du bureau Ovale comme conseiller à la sécurité nationale, en 2018-2019.

Dans cet ouvrage au vitriol, l’ancien conseiller à la Maison Blanche alimente l’image d’un président américain incompétent sur la scène internationale, moqué par de hauts responsables de sa propre administration et faisant passer sa soif de réélection le 3 novembre avant l’intérêt du pays.

« SUPER VICTOIRE DEVANT LA JUSTICE contre Bolton. Evidemment, le livre ayant déjà circulé et fuité auprès de nombreuses personnes et des médias, le juge très respectable n’aurait rien pu faire pour l’arrêter », a réagi Donald Trump sur Twitter.

« Bolton a enfreint la loi et a été dénoncé et blâmé pour l’avoir fait et payera un prix très fort. Il aime lâcher des bombes sur les gens et les tuer. Maintenant, des bombes vont tomber sur lui ! », a menacé le président américain, en évoquant les positions va-t-en-guerre en diplomatie de son ex-conseiller.

Donald Trump ne veut plus parler à Xi Jinping « pour le moment »

La relation a continué à se détériorer entre Donald Trump et Xi Jinping depuis l’éclatement de la crise du coronavirus.

J’ai une très bonne relation [avec lui] mais pour le moment, je ne veux pas lui parler, a déclaré M. Trump sur Fox Business.

Interrogé sur les différentes mesures de rétorsion qu’il pourrait envisager, il s’est montré menaçant : Il y a beaucoup de choses que nous pourrions faire. Nous pourrions rompre toute relation.

Si on le faisait, que se passerait-il?, a-t-il poursuivi. On économiserait 500 milliards de dollars si on rompait toute relation, a-t-il encore dit.

Depuis des semaines, le président américain Donald Trump accuse les autorités chinoises d’avoir dissimulé l’ampleur de l’épidémie, apparue fin 2019 dans la ville de Wuhan (centre de la Chine), et d’avoir ainsi facilité sa propagation.

Pékin dément et affirme avoir transmis le plus vite possible toutes les informations à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et à d’autres pays, dont les États-Unis.

Ils auraient pu l’arrêter, a martelé le locataire de la Maison-Blanche sur la chaîne Fox Business.

Agence France-Presse

La Chine veut peser de tout son poids à l’ONU

Affichant son rôle de grande puissance, la Chine s’implique de plus en plus dans une Organisation des Nations Unies fragilisée par les coups de boutoir de l’administration Trump. Ses contributions financières augmentent, tout comme le nombre de postes à la tête des agences spécialisées de l’ONU. 

Source: swissinfo.ch

SpaceX gets America flying again

The launch of the SpaceX flight is a powerful symbol for American space exploration. The United States, which for nine years has depended on Russian launchers to send astronauts into space, has no shortage of projects in this area. While Trump is dreaming of the Moon by 2024, Elon Musk already has his sights set on Mars.

Source: La Croix